Voici un exemple concret de comment je vis et j’écoute le message de mes émotions au quotidien :
La semaine dernière, j’avais lancé un atelier « Créer de l’espace à l’intérieur de soi ». C’était un atelier payant, 70€, à 14h. Je n’ai pas eu d’inscrit ^^. J’ai choisi d’observer dans mon corps et mon cœur le message de cette expérience et des émotions qu’elle m’a fait vivre :
=> Quelle est ma peur derrière ça ? Pourquoi ne pas en avoir parlé plus tôt ? Les excuses ne sont jamais la vraie raison. Elles sont éventuellement des indications pour la suite, mais elles parlent de notre environnement et comment notre intérieur s’adapte à l’extérieur pour convenir à une norme. Parfois, il peut être judicieux de les prendre en compte, mais elles restent un détail. Ma peur derrière ça c’était « être visible c’est dangereux ». Alors merci à cette peur qui m’a préservé jusqu’ici, mais maintenant je n’ai plus besoin de toi.
=> Aaaaah celle là je la connais trop bien, je l’ai beaucoup fréquenté, donc c’est allé vite, car j’ai décidé entre moi et moi qu’il n’y avait plus de place disponible pour cela. Je suis entière et complète, et je suis la personne parfaite pour plein de gens. Et je ne conviendrais pas à plein de gens aussi. Je veux que ma puissance vienne de l’intérieur de moi, et pour aller dans ce chemin, la première chose que j’ai faite c’est apprendre à m’aimer. Je n’ai plus besoin de que les autres valident ce que je fais pour être entière et suffisante, car je le sais et je le fais moi-même.
Avoir de l’argent pour payer mes charges, c’est un besoin de sécurité pour moi. Cette peur est normale, mais pour l’instant je suis en sécurité. C’est aussi la 2ème fois que je lance une entreprise, ce sont des émotions que je connais. Je sais aussi avec ce que j’ai découvert grâce à Sylène Monnin que l’argent est une énergie, et qu’elle reflète justement ces deux blocages que je viens de vous exposer juste au dessus, et que transcender ces peurs pour les réactualiser est nécessaire pour la suite de ma nouvelle entreprise de coaching.
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